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C’est avec grand plaisir que la beauté de cette semaine, Valéry Ouimet, s’est glissée dans le costume de mère Noël pour les besoins de cette séance photo. Originaire de Saint-Jérôme, la jeune femme de 23 ans habite Laval et est consultante média en plus d’être mannequin promotionnelle pour une agence.
«La fête de Noël est très familiale chez nous, c’est l’occasion de voir tous les membres de la famille, notamment mon frère que je ne vois pas assez souvent. Je conserve de beaux souvenirs de mes Noëls d’enfance, notamment quand je me levais le matin, le 25, et que je constatais que le père Noël avait bu le verre de lait et mangé les biscuits laissés pour lui. Les décorations, les plats traditionnels, c’est important pour moi. Quand j’aurai des enfants, il est clair que je vais perpétuer ces traditions.»
Valéry se décrit comme une fille sociable, une impulsive qui adore rire. «En amour, je dois avouer que je ne suis pas une fille romantique, mais j’aime quand les hommes le sont un peu. Je suis très indépendante et pour me séduire, un homme doit avoir un petit côté macho et ne surtout pas être en adoration devant moi. Il doit être intelligent, être habile pour faire des travaux manuels, et avoir absolument le sens de l’humour, car le rire est essentiel dans ma vie.»
Outre son travail dans le milieu des médias et de la publicité – elle adore se retrouver sur des plateaux de tournage, en coulisses -, Valéry entretient aussi une grande passion pour la rénovation. «Je suis parfaitement à l’aise avec un marteau, un pinceau ou une perceuse dans les mains. Mon père travaille dans le domaine de la construction et il m’a souvent amenée sur des chantiers et j’ai naturellement pris goût aux travaux manuels. Je n’ai pas peur de me salir, j’ai eu l’occasion de rénover deux maisons et je peux dire que je suis vraiment bonne! Ça demeure un passe-temps, je trouve utile d’avoir ces connaissances», ajoute Valéry.
La sympathique et ricaneuse jeune femme a un grand amour dans sa vie: son chihuahua qui porte le nom de Gucci. «Il pèse 4 livres et je l’ai depuis huit ans. Je l’ai eu dans un drôle concours de circonstances: je fréquentais alors un garçon, mon premier chum, et mes parents ne l’aimaient vraiment pas, il n’était pas fin. Mon père m’a dit un jour: Valérie, si tu le laisses, je vais t’acheter le chien que tu veux. Gucci a donc fait son apparition dans ma vie!»
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